Chouchou des concerts de fin d’année, Johann Strauss, second du nom, est la guest-star de l’Auditorium de Lyon avec son opérette la plus célèbre, et la plus savoureuse.

« Prendre le temps de ce concert. Le temps du muguet, celui de la prière, celui de la danse, de la joie et de la douleur. »

La saison 2020-21 aurait dû voir la création de la nouvelle cantate de Brett Dean. La pandémie en a décidé autrement. Raison de plus pour écouter ces vibrants hymnes à la nature, dans sa beauté et sa fragilité.

« Neuf voix de femmes et trois contre-ténors, une cithare iranienne qanûn, une basse de viole et un dispositif électronique (…) déploieront autour de la lecture de poèmes orientaux questionnant la vacuité de l’être et l’impermanence du monde. »

« Une invitation au voyage en clair-obscur à travers 80 ans de musique française, de Berlioz à Ravel. »

« La Messe pour double choeur de Frank Martin redonne à entendre le grand choeur de chambre. »

« Un concert qui promet toutes les ivresses, ainsi qu’une belle bataille entre vélocité pianistique et brio du grand orgue. »

Spirito et l’Orchestre national de Lyon devaient donner en mai 2020 la gigantesque Deuxième Symphonie de Mahler. Quel meilleur symbole que de couronner avec elle, sous la baguette de Nikolaj Szeps-Znaider, cette saison 2021-22 dont nous espérons tous qu’elle aura bel et bien été celle d’une « Résurrection » ?